Collagène Marin TLN
- Peptides de collagène marin hydrolysés de type I
- Breveté Peptan et enrichi en vitamine C pour une absorption optimale
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Le collagène de type I est le plus abondant dans le corps et aussi le plus ubiquitaire. On le trouve en effet dans de nombreux tissus comme la peau, les tendons, le cartilage ou les os. Il est donc le type de collagène que l’on peut choisir « par défaut » sans risquer de se tromper. Néanmoins, si l’on veut cibler la sphère articulaire et spécifiquement soulager des tensions articulaires, le collagène de type II peut renforcer l’action d’un collagène de type I en activant certaines voies de signalisation spécifiques à la synthèse de la protéine dans le cartilage et les tendons. Si l’on préfère en revanche cibler ses effets sur a fermeté de la peau, un mix de collagènes de type I et III seront alors recommandés.
Les suppléments de collagène sont considérés comme sûrs et généralement très bien tolérés aux dosages physiologiques. Les effets indésirables sont rares mais peuvent se manifester sous forme de :
Pour une peau plus tonique et plus lisse, prévoir une cure de 4 à 8 semaines de peptides de collagène.
Pour le soin des articulations, prévoir un programme de 8 à 12 semaines.
Plus que d’en prendre tous les jours, c’est la régularité avec laquelle on utilise le collagène qui est vraiment déterminante. Cette protéine se renouvelle en continu et se reconstruit à partir d’acides aminés spécifiques provenant de l’alimentation, car le corps ne la stocke pas ailleurs que dans les tissus conjonctifs. Il est donc primordial d’optimiser la fabrication endogène de collagène en employant la seule façon efficace d’encourager sa synthèse : absorber du collagène biodisponible, qui se chargera d’atteindre les tissus cibles pour s’y fixer.
Les meilleurs résultats ont été obtenus avec une prise quotidienne de suppléments de collagène hydrolysé, sur des périodes de 4 à 12 semaines. Mais certaines personnes obtiennent d’aussi bons résultats en consommant du collagène 3 fois par semaine tout au long de l’année.
En termes d’absorption, ils sont aussi biodisponibles l’un comme l’autre, du moment qu’ils ont été hydrolysés, donc transformés en peptides suffisamment légers pour traverser la paroi intestinale.
Toutefois, le collagène bovin est principalement composé des types I et III, tandis que le collagène marin est principalement composé du type I. Aussi, le collagène bovin n’aura pas tout à fait les mêmes indications s’il a été prélevé dans les articulations ou la peau du bœuf. La peau est plus riche en collagène de type III, intéressant pour la fermeté de la peau, alors que les os et les articulations sont composés du type I, plus indiqués pour la sphère articulaire.
Le collagène marin, quant à lui, provient principalement de la peau de poisson est composé du type I, le plus abondant dans le corps, et indiqué pour la peau et les articulations.
Un collagène natif est le collagène que l’on trouve en l’état dans la peau, les os et les cartilages d’animaux. Il n’a pas été transformé et peut être consommé sans risque, mais son taux d’absorption par la paroi intestinale est d’environ 1%. Il n’exerce donc aucune action positive sur les tissus de conjonction car il ne peut pas les atteindre.
Un collagène hydrolysé a été soumis à une hydrolyse, soit une étape de prédigestion, qui lui permet de traverser la paroi intestinale. Il est parfaitement absorbé et reconnu par les tissus, qui peuvent synthétiser le collagène dans leur structure.
Les peptides de collagène sont le résultat de l’hydrolyse du collagène natif. D’un poids moléculaire 100 fois plus faible, ils peuvent facilement traverser la paroi intestinale. Leur taux d’absorption peut atteindre 90%.
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